samedi 22 mai 2010

Qu'est ce que la biodiversité?


Introduction : La population de la planète a beaucoup augmenté et l’homme a du épuiser des ressources naturelles pour survivre. Tout cela a changé l’écosystème et pourtant la biodiversité. Mais qu’est ce qui réduit la biodiversité réellement ?
La biodiversité: Qu’est ce que c’est la biodiversité ? La Biodiversité présente sur terre aujourd’hui est le résultat de 4 milliards d’années d’évolution. Des espèces ont disparu, d’autres sont apparues. La destruction des habitas, le résultant des activités humaines, s’est accélérée depuis le début de l’ère industrielle et de nombreuses espèces sont en voie de disparition. Mais par ses activités l’Homme est aussi responsable de la disparition de très nombreuses espèces de variété de plantes cultivées. La biodiversité représente à la fois la diversité des écosystèmes, des espèces et la diversité génétique des individus. (1)
Un écosystème est fragile car son fonctionnement dépend de chaque maillon qui le compose, chacun participant aux grands cycles de la matière (carbone, oxygène, eau, azote) qui caractérise le fonctionnement de l’écosystème.
L’homme par son action rompt ces équilibres fragiles. En effet, pour subvenir à ses besoins il doit se nourrir, se loger, se chauffer, se déplacer. Pour cela il exploite les ressources naturelles, ce qui a des conséquences néfastes pour l’équilibre des écosystèmes : augmentation de la température, montée du niveau des eaux, pollution, impacte sur la circulation de l’océan global, multiplication des événements climatiques extrêmes. (2)
L’activité humaine a considérablement augmenté les taux d’extinction des espèces et de leur population , mettant directement à mal la richesse et la diversité de la vie sur Terre ,et menaçant indirectement le bien-être de l’Homme, du fait des conséquences néfastes de la disparition d’espèces sur les services fournis par les écosystèmes .Les causes directes de diminution de la biodiversité sont relativement bien comprises, avec pour principaux facteurs, la destruction des habitats, le changement climatique, l’homogénéisation biotique, l’extraction des ressources, et la pollution .(3)
La biodiversité agricole repose sur une grande variété de plantes cultivées. Cependant l’Homme assure 50 % de ses besoins alimentaires avec seulement quatre espèces : le blé, le maïs, le riz et la pomme de terre. Avec l’augmentation de la population mondiale, les besoins alimentaires sont plus importants, ce qui nécessité un accroissement des terres cultivables au détriment des forêts.
La destruction des écosystèmes forestiers se poursuit encore aujourd’hui dans les zones tropicales et menace les dernières forêts naturelles.(1)
Les forêts tropicales couvraient au début du XIXème siècle dans le monde une superficie de 16 millions de km² environ. Aujourd’hui, moins de la moitié subsiste. Chaque année, la déforestation fait disparaître quelque 13 millions d'hectares de forêts dans le monde. Néanmoins, le taux de perte nette de forêts ralentit grâce aux nouvelles plantations et à l'expansion naturelle des forêts existantes. Entre 2000 et 2005, ces pertes se sont élevées à 7,3 millions d'hectares/an, soit une superficie équivalant à la Sierra Leone ou à Panama. Ce chiffre correspond quand même à une perte nette annuelle de 0,18 % des forêts du monde. Au rythme de destruction actuel, les enfants qui naissent au début du XXIème siècle devraient assister avant la fin de leur vie à la disparition totale des forêts primaires du monde, à l'exception de rares espaces difficilement accessibles. Ces forêts primaires, c'est-à-dire, les moins anthropisées, sont dans la situation la plus critique car, au rythme de déforestation actuel, elles auront disparu en Afrique dans 10 ans, en Asie du Sud-Est dans 15 ans et en Amazonie dans 40 ans maximum. (4)
Poissons sauvages ou d’élevage ?
L’alimentation humaine nécessite l’apport e protéines d’origine animale. Ainsi, l’Homme élève et pêche les poissons dont la chair est riche en protéines très digestes, en acides gras du type oméga 3, en oligo-éléments et en vitamines.
Longtemps considérés comme inépuisables, les océans nous révèlent aujourd’hui leur fragilité et la perte de leur biodiversité. La surpêche en est l’une des causes. Pour continuer à consommer poissons et crustacés, l’Homme a domestiqué de nombreuses espèces dans des fermes aquacoles. Cependant ces élevages intensifs ont également des effets négatifs sur le milieu marin. Des pratiques plus respectueuses de l’environnement comme l’aquaculture biologique doivent être envisagées. (1)
Sauvegarder des milieux de vie. Pour faire à la destruction de certains territoires peut être envisagée afin de freiner l’appauvrissement de la biodiversité. Différentes structures existent comme les parcs nationaux, les réserves naturelles…
Le développement des zones de protection (parcs nationaux,…) est favorisé par la mise en place des lois.
Ces parcs nationaux permettent de mieux gérer les ressources et de préserver de nombreuses espèces en danger.
Comment produire mieux ? Le défi de l’agriculture moderne est de produire tout en préservant les espèces présentes dans le milieu. L’agriculture biologique et l’agriculture de précision peuvent apporter des solutions concrètes. Parallèlement, les consommateurs peuvent privilégier des comportements compatibles avec la préservation de la biodiversité.
Pour lutter contre l’affaiblissement de la biodiversité lié aux pratiques agricoles traditionnelles (monocultures, usage pesticides…), l’agriculture biologique mais aussi l’agriculture de précision peuvent être des solutions.
En diversifiant son alimentation et en privilégiant certains produits, chaque citoyen peut agir pour sauvegarder la diversité planétaire.(1)
Conclusion : Au cours des siècles l’Homme a évolué et la population de la planète a augmenté. Tout cela a poussé, l’Homme à épuiser des ressources naturelles, et le développement de la pèche intensive. Toutes ces activités ont modifié l’équilibre naturel et ont réduit la biodiversité. Beaucoup d’espèces animales et végétales ont disparus donc les écosystèmes sont perturbés.
1 : Livre : SVT 3eme Programme 2008
Éditorial : Nathan 2: Site Web : http://www.palais-decouverte.fr/index.php?id=581
Article : L’influence de l’homme sur l’action des écosystèmes
3 : http://www.biodiversite2007.org/article.php3?id_article=176
Article : L’inégalité économique entraine une diminution de la biodiversité
4 : http://www.zero-deforestation.org/p_consequences.htm
Article : Conséquences : Bilan en chiffres

vendredi 30 avril 2010

Courrons contre la faim!


Introduction : Dans notre planète il y a beaucoup d’inégalité entre les pays. Dans les pays pauvres une personne meurt chaque quatre secondes de faim. On doit essayer d’arrêter cette horreur. Avec la course contre la faim on peut aider à sensibiliser les gens de ce désastre et l’éviter. Courrons contre faim !

D'après le dernier rapport annuel de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le seuil historique d'un milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde a été franchi cette année. Soit: cent millions de personnes de plus qu'en 2008. Et le phénomène ne devrait que s'aggraver d'ici 2050 où la terre comptera plus de 9 milliards d'habitants, soit 34% de bouches de plus à nourrir.
D'après une étude réalisée conjointement par l'INRA et le CIRAD au début du mois, la planète serait capable de nourrir tous ses habitants en 2050, sans mettre en péril son équilibre environnemental, en associant une réduction des gaspillages et une rupture des habitudes de consommation. Rappelons à ce sujet qu'un quart de la nourriture mondiale est jeté sans être consommé. L'avenir est donc entre les mains de chacun d'entre nous. Adopter des comportements de consommation sobres et responsables, favoriser un régime alimentaire à base de végétaux, consommer des produits issus de l'agriculture biologique et locale, renoncer aux agrocarburants ou limiter ses déplacements en voiture, font partie d'actes citoyens qui additionnés les uns aux autres changeraient le bilan mondial.(1)
La Course contre la Faim aura lieu, pour la 13ème année consécutive, le 07 mai prochain. Projet solidaire, la Course contre la Faim a permis l'an dernier de réunir 740 établissements soit 215000 élèves qui se sont unis et ont couru pour aider les populations souffrant de malnutrition et ont collecté plus de 2.5 millions d’euros.
LA COURSE CONTRE LA FAIM constitue un projet éducatif et pédagogique qui mobilise élèves et étudiants du monde entier autour d’un objectif commun, lutter contre la faim mondiale et la malnutrition. Puisant dans le vaste potentiel des jeunes à devenir de puissants agents du changement, la Course a pour but de sensibiliser les élèves canadiens aux causes de la faim dans le monde, et les inspirer à faire partie de la solution.(2)
La Course contre la Faim est un projet citoyen car il permet aux élèves de s’ouvrir au monde en prenant connaissance du fléau qu'est la malnutrition. "Prendre connaissance et comprendre les dimensions du fléau de la faim, c’est déjà commencer à agir" nous explique Jean-Christophe Rufin, ancien président d’ACF. En effet, la faim est un enjeu d’aujourd’hui mais surtout de demain, comme nous l’indique les chiffres récents de la FAO sur le nombre de personnes touchées, en constante augmentation (à ce jour, plus d'1 milliard de personnes sont sous alimentées). Sensibiliser les jeunes à ce problème et leur donner les moyens d’agir, c’est les confronter aux enjeux humains qu’ils auront à résoudre à l'avenir. La solidarité, qu’elle soit internationale ou locale, est une valeur phare à transmettre. A travers ce projet, c’est un établissement tout entier qui exprime sa solidarité et dans lequel chaque acteur a un rôle à jouer pour lutter contre la première cause de mortalité au monde.(3)

Conclusion : Grâce à cette course on aide à beaucoup de gens qui n’ont pas la même chance que nous à pouvoir avoir de quoi manger et vivre tous les jours. C’est comme ça qu’on peut éviter ces inégalités dans le monde.


1 :Site web : http://agriculture.suite101.fr/article.cfm/la_faim_dans_le_monde_progresse
Article :La faim dans le monde progresse
2 :site web : http://www.actioncontrelafaim.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=1154&Itemid=490&lang=frArticle :Action contre la faim
3 :Site web : http://www.coursecontrelafaim.org/la-course-contre-la-faim/un-projet-citoyen-et-solidaire/
Article :Un projet citoyen et solidaire

jeudi 29 avril 2010

Courrire,un vie sauvée!


Introduction : La Course contre la Faim est un projet citoyen car il permet aux élèves de s’ouvrir au monde en prenant connaissance du fléau qu'est la malnutrition. Prendre connaissance et comprendre les dimensions du fléau de la faim, c’est déjà commencer à agir. Sensibiliser les jeunes à ce problème et leur donner les moyens d’agir, c’est les confronter aux enjeux humains qu’ils auront à résoudre à l'avenir.

(1)C'est le plus grand évènement pédagogique en France avec 900 établissements mobilisés en 2010 pour un total de 250 000 jeunes sensibilisés à une cause.La Course Contre la Faim, permet aux jeunes élèves de mener une action de sensibilisation autour du fléau que représente la malnutrition dans le monde. La faim est aujourd'hui un enjeu majeur de la situation mondiale : selon les chiffres récents, plus d'un milliards de personnes sont sous alimentées dans le monde et ils sont en constante augmentation.C'est pourquoi, à travers un projet sportif et solidaire, un établissement tout entier pourra ainsi exprimer sa solidarité et dans lequel chaque acteur jouera un rôle pour lutter contre la première cause de mortalité au monde. La Course contre la Faim représente avant tout un projet pédagogique, car les différentes thématiques abordées, comme la malnutrition, ses manifestations, ses causes et ses conséquences ou bien le thème de la solidarité internationale, sont en lien direct avec les programmes scolaires.La Course contre la Faim est aussi un projet sportif : le vendredi 7 mai, tous les élèves s’élanceront sur leur lieu de course pour courir le plus de kilomètres possibles afin d'exprimer leur solidarité aux victimes de la faim.
Chaque année la Course permet de récolter des dons pour un pays en particulier. Lors de la 13ème édition qui aura lieu le 7 mai 2010, les élèves courront pour aider le Tchad. Les dons récoltés permettront d'élargir les programmes ACF de développement.Le Tchad, pays limitrophe du Soudan, est aujourd’hui dans une situation humanitaire très grave. Dans cette région du globe, les facteurs de malnutrition se superposent : l’instabilité politique, les guerres et les sècheresses à répétition plongent la population tchadienne dans une situation d’urgence. Il est donc nécessaire d'agir pour

(2) Chaque année la Course contre la Faim permet de récolter des dons pour un pays en particulier. Lors de la 13ème édition qui aura lieu le 7 mai 2010, les élèves courront pour aider le Tchad. Les dons récoltés permettront de développer les programmes ACF dans ce pays.
Mais pourquoi aider le Tchad ?
Le Tchad, pays limitrophe du Soudan, est aujourd’hui dans une situation humanitaire très grave. Dans cette région du globe, les facteurs de malnutrition se superposent : l’instabilité politique, les guerres et les sècheresses à répétition plongent la population tchadienne dans une situation d’urgence.
Le Tchad est l'un des pays les plus pauvres de la planète. Son indicateur de développement humain (IDH) le classe au 175ème rang mondial et 55% des Tchadiens vivent avec moins d’un dollar par jour. L’économie du pays est basée essentiellement sur l’agriculture et l’élevage, qui emploient près de 80% de la population active. De plus, un conflit sévit depuis 2003 au Darfour, région située à la frontière entre le Tchad et le Soudan. A ces violences s’ajoute une guerre civile entre l’armée tchadienne et des groupes rebelles qui s’opposent au gouvernement du président Déby.
Ces conflits ont poussé les populations civiles à quitter certaines régions pour fuir les zones les plus touchées. On dénombre aujourd’hui environ 400 000 personnes (215 000 soudanais réfugiés et 180 000 tchadiens déplacés) dans les camps de réfugiés. Ces personnes ont tout laissé derrière elles pour sauver leur vie. Elles se retrouvent sans ressources, dépendantes de l’aide internationale. Cette situation politique critique est aggravée par des dérèglements climatiques graves.

(3) Top départ pour les séances de sensibilisations dans les collèges pour le grand rendez-vous solidaire de la Course contre la Faim. Action contre la Faim intervient depuis 30 ans pour lutter contre ce fléau qui continue de progresser, et compte plus que jamais sur la mobilisation des jeunes dans ce combat. Le 7 mai 2010, les élèves de plus de 800 établissements scolaires en France et à l’étranger courront pour faire reculer la faim.
Au-delà d’une simple collecte de fonds, l’événement recouvre une vocation pédagogique à destination d’un public peu informé sur le problème de la faim. En amont de la Course, des intervenants d’Action contre la Faim viennent échanger avec les élèves lors de séances de sensibilisation. Pendant une heure, les différents visages de la faim et l’amplitude du problème à l’échelle mondiale leurs sont expliqués. Cette année, les jeunes visionneront un film tourné sur la mission d’Action contre la Faim au Tchad. 4 000 heures de sensibilisation seront assurées par plus de 500 bénévoles et membres d’Action contre la Faim. Cette chaîne de solidarité n’est pas seulement constituée par des bénévoles, elle l’est aussi par les élèves, les chefs d’établissement, les professeurs et parents d’élèves qui font de ce projet une réussite.

(4) Le 7 mai, la MLF va une nouvelle fois participer à la Course contre la faim, en partenariat avec l’association Action contre la Faim
Ce projet pédagogique et solidaire permet de sensibiliser les jeunes aux problèmes de la faim et contribue à l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité. Des séances d’information et de sensibilisation, réalisées à l’aide d’outils pédagogiques, ont lieu pendant les mois qui précèdent le jour de la Course dont le principe est le suivant : les élèves recherchent des « sponsors » qui leur font des promesses de dons pour chaque kilomètre parcouru le jour de la Course. La collecte des fonds permet ainsi de soutenir les programmes d’Action contre la Faim sur le terrain.Cette année, la Course aura lieu le 7 mai 2010. 14 établissements de la MLF sont inscrits dans 6 pays différents : Bolivie, Espagne, Finlande, Italie, Liban, Maroc.

Conclusion : Cette action est un projet citoyen car il permet aux élèves de s’ouvrir au monde en prenant connaissance du fléau qu'est la malnutrition.
Lors des séances de sensibilisation, les élèves prennent conscience qu’ils peuvent agir pour sauver des vies, en participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM. Le principe est simple : chaque élève participant se fait sponsoriser chaque kilomètre qu’il parcourt par des membres de son entourage (parents, amis, voisins, commerçants…) qui décident eux-mêmes de la somme attribuée par kilomètre (1, 2, 3… euros). Le jour de la course, l’élève fait de son mieux ! La distance maximale qu’il peut parcourir est de 10 kilomètres.


Site web(1): http://www.oneheartchannel.fr/index.php?page=video&vid=1335
Article: Course Contre la Faim : 7 mai 2010

Site web(2): http://www.coursecontrelafaim.org/la-course-contre-la-faim/la-course-2010-au-profit-du-tchad/
Article: La Course 2010 au profit du Tchad


Site web(3): http://www.actioncontrelafaim.org/presse/communiques/communique/article/1/13eme-edition-de-la-course-contre-la-faim-250-000-jeunes-sur-la-ligne-de-depart/
Article: 13ème édition de la Course contre la Faim : 250 000 jeunes sur la ligne de départ !

Site web(4): http://www.mlfmonde.org/spip.php?article453
Article: La Course contre la faim 2010

jeudi 15 avril 2010

UNICEF: Rapport sur l'action humanitaire 2010

La faim dans le monde,un crime a l'humanité


Introduction : 815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Ce chiffre diminue en moyenne de 6 millions par an. Mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015 On sait que le progrès technique a permis, dans les pays développés, de multiplier par dix les rendements à l’hectare cultivé, tout en diminuant de 9/10èmes également la population employée à cultiver ces terres. Les pays développés disposent de larges excédents de céréales, de produits laitiers, de viande, dont ils ne savent que faire. Dans les pays pauvres eux-mêmes, la production alimentaire et les rendements progressent, permettant souvent à ces pays d’être auto suffisants, voire de devenir exportateurs : voyez le cas du Brésil où des poches de malnutrition subsistent pourtant dans le « Nord-Este » ou du Vietnam.
Le problème est que, dans des pays où les réseaux de transports sont faibles, voire inexistants dans certaines zones, il est très difficile d’acheminer les excédents des uns vers les populations en état de déficience alimentaire. L’exemple de Madagascar le montre bien : cette ile, vaste comme la France, et fertile, dispose globalement de ressources alimentaires suffisantes, mais plus du tiers de sa population est sous-alimentée, car elle est incapable de transporter, en période de crise, la nourriture des provinces du nord vers les provinces du sud, plus sèches.


(1)Il y a deux ans, alors que la crise alimentaire couvait déjà, le forum de Davos n’avait consacré qu’une petite conférence à cette question. Le Forum semble vouloir se rattraper cette année en y consacrant quatre rencontres dont l’une, avec Bill Gates, vient de se dérouler dans le grand amphithéatre.Rien de très nouveau pour les spécialistes. L’enjeu est de doubler la production d’ici 2050 pour nourrir les neuf milliards de personnes. Néanmoins, quelques idées fortes se sont dégagées.
- 1) Primo: l’augmentation de la productivté (avec évidemment le débat sur les OGM) est indispensable mais ne saurait être la seule solution. Même si il n’y a aujourd’hui pas plus de tracteurs dans l’Afrique subsaharienne que dans la seule Thailande.
-2) Les droits de propriété sont un problème majeur. En Afrique, l’absence de titres de propriétés (notamment pour les femmes) empeche les paysans d’obtenir des prêts bancaires et d’investir. La Tanzanie tente une expérience: utiliser le GPS pour borner les terres cultivées et délivrer des titres de propriété reconnus par les banques.
-3) Investir davantage dans la production, c’est bien mais investir dans la gestion des récoltes est tout aussi important. En Afrique, 30% des récoltes sont perdus faute de capacité de stockage et de transport. Pourtant 5% seulement des investissements consacrés à l’agriculture sont des tinés à ce secteur.
-4) La déforestationfait partie du problème, pas de la solution. Virgilio Mauricio Viana, responsable au Brésil d’une fondation qui lutte contre la déforestation de l’Amazoniea été assez convaincant montrant que l’agriculture dépendant de la pluie et celle-ci dépendant des forêts, la déforestation nuit à l’agriculture. Mais si l’on ne veut pas accroître les espaces cultivés, il faut augmenter la productivité des terres.On peut certes également discuter des biocarburants et des régimes alimentaires carnés si peu durables, mais dix-huit mois après le sommet de la crise, il apparaît évident que les prix des matières premières agricoles ne devraient pas durablement baisser (ils restent assez élevés). Si les problèmes agricoles ne font plus la Une de l’actualité, la banque mondiale et les dirigeants politiques semblent avoirmalgré tout retenu la leçon: selon Jacques Diouf, patron de la FAO, la part de l’agriculture dans l’aide publique au développement est passée de 3% à 5% en deux ans. Une (petite) bonne nouvelle si elle se confirme.

(2) L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) publie régulièrement des statistiques et des cartes en ce qui concerne la faim dans le monde. De manière générale, la faim recule dans le monde, mais dans certains pays comme la République démocratique du Congo, elle gagne du terrain. Toute cette région de l'Afrique se trouve toujours dans la zone rouge, avec des centaines de millions de personnes en danger.

(3) Le manque d’action pour mettre un terme à la spéculation en matière de biens agricoles et les politiques d’encouragement sur les biocarburants ouvrent la voie à une réédition en 2010 et 2011 de la crise des prix alimentaires connue en 2008, affirme Olivier De Schutter, le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, dans un entretien avec EurActiv. Le rapporteur de l’ONU explique que la quantité de production alimentaire est suffisante et que la faim n’est pas le résultat d’une production alimentaire dans des conditions inefficaces, comme l’affirment la plupart des scientifiques, des think tank ainsi que l’industrie agroalimentaire.

Conclusion : La faim est un attentat contre l'être humain. Elle est causée par des raisons structurelles et conjoncturelles. Elle a été présente dans toute l'histoire de la terre. Nous pouvons aider à la combattre en faisant des dons mais aussi en essayant de changer le monde. En somme, l’avenir de la faim dans le monde tient dans la volonté de chacun d’entre nous : si l’on ne trouve pas nécessaire d’agir, alors le problème restera entier si ce n’est aggravé ; en revanche, si chacun y met du sien et participe à une lutte sans merci pour un monde plus juste, ne laissant aucune chance aux inégalités, il serait possible d’assister à l’abolition de la faim dans le monde.

Site web (1) : http://lemaitre.blog.lemonde.fr/2010/01/29/davos-et-la-faim-dans-le-monde/
Article : Davos et la faim dans le monde

Site web (2) : http://www.populationdata.net/index2.php?option=article&aid=322&article=2009-01-20-Carte-de-la-faim-dans-le-monde
Article : 20 janvier 2009 - Carte de la faim dans le monde

Site web (3): http://www.euractiv.com/fr/pac/monde-menace-nouvelle-crise-alimentaire-2010/article-187709
Article : Le monde sous la menace d’une nouvelle crise alimentaire en 2010

Aidons notre planète avant qu’il ne soit trop tard !

La terre est notre maison, elle nous donne de tout et nous la correspondant pas c’est pour cela que la journée mondiale de la terre est la journée la plus importante. Les prévisions pour 2014 sont des phénomènes naturels, comme le refroidissement dans une partie du pacifique et la résistance au réchauffement de l’océan Arctique. Mais à partir de 2009, les températures devraient atteindre des records, aucun phénomène ne pouvant compenser la hausse des températures provoquée par les gaz à effet de serre. C’est pour ces phénomènes anormaux provoqués par nous en réalité qu’on tue peu à peu notre lieu de vie.
Sur la terre on est plus de 2,6 milliard de personnes sur la planète et 815 millions de personnes souffrent de faim dans le monde mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015, selon l’ONU. 1 personne meurt de faim chaque 4 secondes dans le monde. On ne peut pas continuer ainsi !

Faim dans le monde



Une insuffisance qualitative ou quantitative de la ration alimentaire nécessaire à un bon fonctionnement de l’organisme peut entraîner de très nombreuses maladies, plus graves les unes que les autres, et souvent liées à des carences nutritionnelles. Mais cette insuffisance peut installer chez l’individu des conséquences bien plus graves, comme un état de faiblesse psychologique qui l’empêche de s’épanouir. En tout cas, quelle que soit la maladie due à la faim, c’est dans la plupart des cas la mort que va trouver l’affamé, s’il n’est pas soigné et nourri rapidement. Il est donc important que chacun d’entre nous sache ce que plusieurs millions de personnes dans le monde endurent en ce moment même.

Il faut tout d’abord savoir que les besoins quotidiens d’un homme en bonne santé sont de 2400 calories par jour, de 1830 pour un enfant de 7 ans et de 2900 pour un adolescent de 15 ans (Un grand nombre de pays africains ont une moyenne de 1700 calories digérées par jour, hommes, femmes et enfants confondus). Une alimentation équilibrée fournit à l’organisme tous les nutriments nécessaires à son bon fonctionnement : les vitamines, par exemple, sont des substances organiques indispensables pour un bon développement, l’organisme étant en général incapable de les élaborer lui-même. Une carence nutritionnelle entraine alors des infections multiples. (1)
Notre monde technologique compte encore 850 millions d’affamés : si la Chine, l’Inde progressent, l’Afrique recule. Moins que le manque de nourriture sont en cause les transports et l’insécurité. L’aide alimentaire a des effets pervers, nos exportations subventionnées encore plus. Les remèdes sont : de bons projets de développement agricole ; des infrastructures au sud ; une bonne gouvernance ; des progrès technologiques. (2)
Comment expliquer les émeutes de la faim qui ont embrasé simultanément Haïti, le Bangladesh, l’Egypte ou le Burkina Faso ? Pourquoi, ces dix derniers mois, le cours mondial des denrées alimentaires a-t-il augmenté de 55% en moyenne ? On peut identifier sept causes :
1/ La folie des biocarburants qui a saisi la planète depuis la hausse vertigineuse des prix du pétrole. Selon le FMI, entre 20 et 50% de la production mondiale de maïs ou de colza ont été détournés de leur usage initial. 2/ L'augmentation très rapide des coûts du fret, autre conséquence de la flambée des cours du pétrole. 3/ L'enrichissiment de pays très peuplés tels la Chine ou l'Inde, dont la consommation de produits alimentaires progresse de façon exponentielle.
4/ La modification de la demande alimentaire dans ces pays, qui veulent consommer davantage de poulets ou de porcs, eux-mêmes grands consommateurs de céréales. 5/ La spéculation. Du fait de la crise des subprimes, les fonds d'investissement cherchent à placer leurs liquidités là où les profits semblent les plus rapides à accumuler. Les premières hausses des prix des denrées alimentaires a attiré les premiers spéculateurs qui ont massivement acheté du riz ou des céréales à terme. 6/ La baisse des aides au développement. Selon "Libération" de ce matin, celles-ci ont diminué de 8,4% en 2007 et l'aide à l'agriculture est aujourd'hui inférieure de 50% à son niveau de 1984. 7/ Les changements climatiques qui commencent à modifier les cycles des récoltes dans certains pays (3)
L’article 25 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme stipule que « toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ». La forte augmentation du coût des aliments de base, particulièrement importante au premier semestre 2008, a directement menacé la survie de centaines de millions de personnes. Le droit à l’alimentation, déjà sérieusement malmené depuis plusieurs décennies de recettes néolibérales, est encore plus gravement mis à mal.

Après une baisse très importante des cours des biens primaires (matières premières et aliments) pendant plus de vingt ans, l’inversion de tendance a eu lieu au second semestre 2001. D’abord dirigée sur le secteur de l’énergie et des métaux, la hausse des cours a ensuite concerné les denrées alimentaires. La tendance a été extrêmement forte. Entre 2007 et 2008, en un an, les prix du riz et du blé ont doublé, celui du maïs a progressé de plus d’un tiers.
Cette explosion des prix est la conséquence directe de la libéralisation des marchés imposée par les institutions financières internationales depuis les années 1980. La suppression des barrières douanières est responsable de l'augmentation de la fluctuation des cours mondiaux des matières premières agricoles. Ainsi la FAO constate l'augmentation constante de la volatilité des cours durant ces deux dernières décennies, cette volatilité semblant désormais une caractéristique permanente sur les marchés alors que n’était pas le cas auparavant(4)
Le développement des biocarburants, selon le rapporteur spécial, loin de diminuer la faim dans le monde va l’aggraver, si du moins on poursuit dans cette voie : « Cet empressement à vouloir subitement et de façon irréfléchie transformer un aliment, tel que le maïs, le blé, le sucre et le vin de palme en carburant revient à courir à la catastrophe. Cela risque d’entraîner une concurrence entre nourriture et carburant qui laissera les pauvres et les victimes de la faim des pays en développement à la merci de l’augmentation rapide du prix des aliments, des terres vivrières et de l’eau. » La logique semble, en effet, imparable: plus les surfaces de plantations nourricières sont transformées en cultures réservées au bioéthanol ou carburant pour voitures propres, plus les récoltes en produits nourriciers sont réduites et plus les prix des denrées augmentent, du fait de leur rareté. La production mondiale de biocarburant appelé aussi agro carburant est actuellement dominée par les Etats-Unis et le Brésil. Selon l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires, si cette production augmente, le maïs subira une hausse de prix d’environ 20% d’ici à 2010 et de 41% d’ici à 2020. Le prix des oléagineux (soja par exemple) et celui du blé prendraient l’ascenseur de façon semblable.
Cela dit, Jean Ziegler ne nie pas les effets positifs du biocarburant notamment sur le -réchauffement climatique et même pour certains paysans de pays développés. Mais les effets négatifs devraient prévaloir, le modèle actuel de production de biocarburant sécrétant, outre les augmentations massives du coût des denrées, l’appropriation des terres en quelques mains. (5)
Conclusion : Nous sommes beaucoup de personnes sur la planète. Et le nombre de personnes qui meurent par manque de nourriture quand dans d’autres pays on consomme le double.
Il faut finir avec cette catastrophe au plus tôt aidons ces personnes à pouvoir manger tous les jours la quantité d’aliments nécessaire pour être en bonne santé.
1 : Site Web : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/9-la-faim-dans-le-monde-6Article : La faim dans le monde : les causes de la faim dans le monde
2 : Site Web : http://canalacademie.com/spip.php?article1255
Article : La faim dans le monde
3 : Site Web : http://globe.blogs.nouvelobs.com/archive/2008/04/14/les-dix-raisons-de-la-crise-alimentaire.html
Article : Les sept causes de la crise alimentaire
4 : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10314
Article : Les causes de la crise alimentaire
5 : Site Web : http://www.riaed.net/spip.php?article1065
Article : Rouler « propre » et accélérer la faim dans le monde ?

mardi 6 avril 2010

Energie solaie dans les écoles


Introduction : Pourquoi doit-on utiliser l’énergie solaire dans notre vie ? Le soleil produit de l’énergie qu’on peut utiliser pour réduire les émissions de CO2 à l’effet serre. Agissons tous pour faire de notre planète un lieu de vie meilleur.
L'énergie solaire est l'énergie du Soleil par son rayonnement, directement ou de manière diffuse à travers l'atmosphère.

Sur Terre, l'énergie solaire est à l'origine du cycle de l'eau, du vent et de la photosynthèse créée par le règne végétal, dont dépend le règne animal via les chaînes alimentaires. L'énergie solaire est donc à l'origine de toutes les énergies sur Terre à l'exception de l'énergie nucléaire, de la géothermie et de l'énergie marémotrice.
L'homme utilise l'énergie solaire pour la transformer en d'autres formes d'énergie : énergie alimentaire, énergie cinétique, énergie thermique, électricité ou biomasse. Par extension, l'expression « énergie solaire » est souvent employée pour désigner l'électricité ou l'énergie thermique obtenue à partir de cette dernière.
Dans l'espace, l'énergie des photons peut être utilisée, par exemple pour propulser une voile solaire.
L'énergie solaire provient de la fusion nucléaire qui se produit au cœur du Soleil. Elle se propage dans le système solaire et dans l'Univers sous la forme d'un rayonnement électromagnétique , de photons.
L'énergie solaire reçue en un point du globe dépend de :
• l'énergie solaire envoyée par le Soleil (fluctuations décennales, saisonnières, et ponctuelles).
• la nébulosité (nuages, brouillards, etc.), qui est importante à l'équateur et plus faible en milieu intertropical.
• la latitude, la saison et l'heure, qui influent sur la hauteur du soleil et donc l'énergie par unité de surface au sol, ainsi que sur la nébulosité en fonction du climat local.
Globalement la terre reçoit en permanence une puissance de 170 millions de gigawatt, dont elle absorbe 122 et réfléchit le reste. Les zones désertiques, où la nébulosité est faible et qui sont situées sous des latitudes proches de l'équateur, sont les plus favorables à l'énergie solaire. Celles qui sont relativement proches de zones de consommation importantes dans les pays développés disposant de la technique sophistiquée requise pour capter l'énergie solaire voient des réalisations de plus en plus importantes, comme le désert des Mojaves (Californie) où se trouve une centrale solaire d'une puissance totale de 354 MW5.(1) Á Madrid, utiliser le soleil pour faire de l’énergie électrique, propre et renouvelable est déjà une réalité dans six écoles publiques dans différents lieux d’Espagne, grâce au projet « Solidarízate » propagé par l’IDAE et l’organisation écologiste Greenpeace. Avec cet acte ils veulent donner les premiers résultats du projet. L’initiative est faite dans les écoles pour chercher l’effet d’exemple pour les jeunes et la proximité avec ces technologies. Les installations, généreront annuellement un total de 150.000 KVa par heure d’électricité. C’est comme ça on évite l’émission à l’atmosphère de presque 150 tonnes de C02, principal gaz de l’effet serre.
Ce projet résulte une expérience novelle or elle est la première initiative de ce tipe qui se fait simultanément dans toutes les autonomies.(2)
L'exemple espagnol : Barcelone, chauffe-eau solaires obligatoires

Dans le cadre de son programme d'amélioration énergétique, Barcelone a décidé de rendre obligatoire, en 2000, l'installation de panneaux solaires thermiques pour fournir l'eau chaude de tout bâtiment nouvellement construit ou réhabilité. Une initiative adoptée depuis par une cinquantaine de ville en Espagne, dont Madrid et Séville et qui fera l'objet d'une loi nationale en 2005.

La Catalogne et sa capitale Barcelone ont appliqué leur singularité à l'écologie. Pour réduire le recours aux énergies fossiles et lutter, à sa manière, contre le réchauffement climatique, un arrêté municipal, promulgué au cours de l'été 1999, effectif depuis août 2000, a décrété l'installation généralisée et obligatoire de chauffe-eau solaires dans tout bâtiment neuf ou en réhabilitation, dont la consommation d'eau chaude dépasse les 2 000 litres par jour. L'objectif est qu'il doit représenter 60 % minimum des besoins en eau chaude.

Par "bâtiment", l'arrêté désigne des immeubles résidentiels, mais aussi des casernes, des prisons, des lieux dédiés à la santé, des équipements sportifs (stades, gymnases), certains locaux commerciaux, des constructions industrielles (pour l'eau chaude servant au processus de fabrication ou aux douches du personnel), ou encore toute autre surface disposant de cantines, de cuisines ou de buanderies collectives. Sont donc visés le secteur privé comme le secteur public. (3)
Conclusion : Grâce à l’énergie solaire on réussi à réduire les émissions de CO2.Et grâce à l’installation des panneaux solaires dans les écoles on réussi à mentaliser les jeunes et les mettre en contacte aves ces technologies.
1Article : Énergie Solaire
Site web : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_solaire
2Article : Greenpeace et IDAE connectent à 52 écoles à l’ énergie solaire
Site web : http://www.greenpeace.org/espana/news/greenpeace-e-idae-conectan-a-5(3)(3) (3Article : Exemple de l’Espagne énergie solaire
Site Web : http://www.econologie.com/articles.php?lng=fr&pg=735

mardi 16 mars 2010

Conservon l'eau!



L’eau est indispensable la vie, mais pas tout le monde a la possibilité de la gaspiller, la boire tous les jours ou l’utiliser pour l’hygiène, arrosage. Le manque d'eau potable est un probl me crucial du 21 me si cle. Depuis cent ans, la consommation d'eau augmente deux fois plus vite que la population. D'ici 2025, la demande risque d'augmenter de 650 %

(1)Aujourd’hui encore, les scientifiques ne sont pas unanimes quant à l’origine de l’eau sur Terre, principalement présente actuellement (et depuis des milliards d'années) dans ses océans.
• L’hypothèse la plus prisée des scientifiques est celle des chondrites carbonées qui sont arrivées sur Terre à la fin de l’accrétion et qui transportaient de l’eau.
• D’autres pensent que l’eau provient des comètes, qui, après la période d’accrétion, se sont écrasées sur Terre. En effet, les comètes sont des corps célestes issus de la ceinture de Kuiper ou du nuage d'Oort ; elles ont un diamètre en général inférieur à 20 kilomètres, et sont composées à 80 % de glace.
• Certains penchent pour la théorie du dégazage : c’est-à-dire qu’ils pensent qu’après la formation de notre planète, il y a 4,5 milliards d’années, l’eau était présente sous forme gazeuse dans les différentes enveloppes de la Terre.
• Il existe aussi une quatrième hypothèse, peu privilégiée des scientifiques, de l'apport d'eau par les micrométéorites, dont le diamètre est de l’ordre du micromètre, qui sont très fréquentes.
Pourtant, de récentes découvertes semblent suggérer aux scientifiques qu’il n’y aurait pas un seul, mais au moins deux phénomènes à l’origine de l’eau. En effet, en évaluant le rapport du deutérium sur l’hydrogène présents dans la comète de Halley grâce aux mesures de la sonde Giotto et en comparant ce rapport avec celui mesuré sur Terre, les astrophysiciens ont constaté une différence qui les a poussé à penser que l’eau ne provenait pas uniquement d’impacts météoritiques ou cométaires, comme certains le pensaient, mais qu’elle provenait aussi d’une autre source, sûrement l’eau du dégazage du globe. En effet, ils ont obtenu un rapport D/H de quelques 3.10-4 pour les comètes, contre 1,5.10-4 dans les océans terrestres.
Mais, par quelque moyen que ce soit, l’eau, une fois arrivée sur Terre, sous forme gazeuse ou solide selon les cas énoncés, s’est, dans l’hypothèse des météorites et des comètes, évaporée à cause des conditions de température lors des impacts ; elle a été ensuite retenue par l’atmosphère protectrice. Dans l’hypothèse du dégazage, l’énergie fournie par la Terre a entrainé un volcanisme important qui a permis à l’eau de s’échapper du manteau. Puis, la température diminuant, la vapeur d’eau présente dans l’atmosphère qui a été à l’origine d’une couche nuageuse épaisse autour de la planète, s’est peu à peu condensée. Aussi, pendant des millions d’années, un déluge de pluies torrentielles, chaudes et acides, s’est abattu sur Terre, responsable de l’apparition des océans. Le climat variant peu, ces océans se sont maintenus et lorsque la vie est apparue, ils ont absorbé une grande partie du CO2. La température a alors diminué de telle sorte que l’eau sous forme de glace a pu enfin se maintenir sur Terre. Ainsi l’eau était désormais présente sous ses trois états.

(2)L’eau douce et de bonne qualité est une ressource rare au niveau mondial ; bien évidemment, c’est une ressource rare et fragile elle constitue même dans certaines régions du monde un enjeu géostratégique.
Comme nous savons tous, notre planète est en grande partie recouverte d'eau. Les océans et Les mers représentent environ 1348 millions de km3 à travers tout le globe. Cette eau est inégalement répartie, et nous la gaspillons sans cesse au quotidien.
De 20 % à 30% d'eau sont gaspillés à la maison à cause de petits gestes que l'on laisse passer inconsciemment ; en laissant le robinet ouvert, ou en laissant l'eau couler lors du brossage de dents, etc.
En France seulement, l'industrie prélève chaque année 4.5 milliards de m3 d'eau, dont 300 millions de m3 sont consommés et pour produire :

- une tonne d'acier, il faut 20 000 litres d'eau.

- une tonne d'aluminium, il faut 1.25 millions de litres d'eau.

- une tonne de papier, il faut 40 000 litres d'eau.

- une tonne de plastique, il faut 2 millions de litres d'eau

- une voiture, il faut 35 000 litres d'eau.

- pour une tonne de médicaments, il nous faut plus de 5 milliards de litres d'eau (ex: l'antibiotique Streptomycine).

En Europe, environ la moitié des eaux des fleuves est utilisée par l'industrie.

Pour les plantes, les animaux et les divers lavages, on prélève 5 milliards de m3 d'eau, dont 2 sont évaporés par les végétaux.

La plus grande partie de l'eau est utilisée pour l'irrigation, essentiellement pour la culture du maïs, il faut

- 25 litres d'eau pour produire 1kg de salade

- 1 500 litres d'eau pour 1kg de blé

- 4 500 litres d'eau pour 1kg de riz

- 1 100 litres d'eau pour 1kg de fromage

Comment économiser l'eau? Ou à vrai dire Comment éviter de trop gaspiller l'eau ?

Voici donc quelques gestes au quotidien pour économiser l'eau chez soi.

- veillez à ne pas laisser goutter le robinet: en 10 secondes, il y a 6 gouttes qui font 12 litres par semaine.

- ne laissez pas couler l'eau lorsque vous vous lavez les dents.

- ne faites pas la vaisselle à l'eau "vive", c'est-à-dire en laissant le robinet ouvert lors du lavage.

- vérifiez que la chasse d'eau des wc ne fuit pas et si possible, installez un système permettant d'économiser l'eau des toilettes.

- soyez conscient qu'une douche prise rapidement consomme moins d'eau qu'un bain.

- recueillez l'eau de pluie pour arroser les plantes.

L'eau est un facteur écologique indispensable à la vie, et la lutte contre le gaspillage est l'affaire de tous .

(3) L'eau est indispensable à la vie, sans elle il n'y aurait aucune vie possible sur terre. Le constat est simple, tous les êtres vivants ont besoin d'eau pour exister; La terre étant, à ce jour, la seule planète du système solaire, elle est la seule à abriter la vie. L'eau est l'un des 5 éléments indispensables à la vie. L'eau est le principal constituant des êtres vivants et il est indispensable au développement de toute vie.L'eau est à l'origine de toute vieL'eau est apparue sur terre il y a environ 4 milliards d'années et depuis son volume est resté constant. C'est toujours la même eau qui circule, se transforme et se recycle en permanence. La vie est apparue sur terre il y a environ 3 milliards d'années dans l'eau. La vie s'est développée, elle a évoluée et elle s'est diversifiée dans des formes de plus en plus complexes uniquement dans le milieu aquatique. Seuls les algues et les poissons existaient.Il y a que depuis 400 millions d'années que la vie s'est adaptée au milieu terrestre sans jamais pouvoir se passer d'eau.Les êtres vivants sont constitués d'eauTous les êtres vivants sont en majorité composés d'eau. A titre d'exemple, les plantes contiennent entre 80 à 85% d'eau et les hommes près de 70%.Les plantes sont presque essentiellement composées d'eau; Elle lui est indispensable pour :
• transporter les éléments minéraux puisés dans le sol
• transporter la matière vivante élaborée dans ses différentes parties
• transpirer et respirer
Les hommes comme les animaux sont en partie constitués d'eau et ils utilisent l'eau pour leur fonctionnement, la régulation de leur température et l'élimination de leurs déchets.

(4) Le manteau terrestre est situé sous la croûte terrestre, à une profondeur comprise entre 10 et 2 900 kilomètres environ. Il enveloppe le noyau central de la planète fait de métal en fusion. Constitué d’environ les deux tiers de toute la masse du globe, il est formé de roches chaudes et pâteuses.
Ayant observé les nuages de fumées blanches qui s’échappent d’un volcan en activité, les scientifiques s’interrogent depuis longtemps au sujet de ce manteau : est-il possible qu’il y ait de l’eau à de telles profondeurs, où température et pression sont très élevées ? Et s’il y en a, où est-elle, comment se présente-t-elle et en quelles quantités ? Les difficultés d’accès au manteau terrestre, l’impossibilité d’y prélever directement des fragments de roches, ont rendu et continue à rendre très difficile l’analyse de ces questions. Il n’empêche, elles commencent à s’éclaircir.

Suite à l’analyse précise d’échantillons naturels en provenance du manteau, magmas et laves rejetés lors de certaines irruptions volcaniques, les scientifiques sont en effet aujourd’hui certains qu’il y a de l’eau dans la partie supérieure du manteau, et ce jusqu’à au moins 300 kilomètres de profondeur : point de nappes d’eau mais tout au plus des gouttes prisonnières des roches, ou des molécules incluses dans certains minéraux. Mais ils ne savent pas encore si cette eau est répartie de manière homogène ou non dans cette portion du manteau.
Pour les plus grandes profondeurs, aucune preuve directe n’est disponible. Mais des études visant à reproduire, en laboratoire, les conditions de température et de pression qui y règnent, ont montré que des quantités non négligeables d’eau pouvaient être hébergées dans les roches à ces profondeurs. Entre 400 et 520 kilomètres de profondeur, certaines roches pourraient même se comporter comme de véritables éponges. Et le manteau serait donc susceptible d’être un important réservoir d’eau ! De là à l’affirmer, il n’y a qu’un pas que les chercheurs ne franchissent pas. Néanmoins, au regard de l’ensemble de ce qu’ils savent aujourd’hui, il semblerait que le manteau terrestre renferme globalement une quantité d’eau au moins équivalente à celle de tous les océans de la planète. Mais toute cette eau liée aux minéraux est extrêmement dispersée dans le manteau.

Les scientifiques sont également capables aujourd’hui d’expliciter comment se produisent les échanges d’eau entre l’hydrosphère et le manteau. L’eau est en effet chassée du manteau lors de certains phénomènes volcaniques, principalement ceux qui se produisent au niveau des dorsales océaniques, ces chaînes de montagne qui s’allongent au fond des océans. L’eau est alors transférée du manteau à la croûte océanique. De l’eau issue du manteau peut aussi être projetée directement dans l’atmosphère lors de l’irruption de volcans situés sur des terres émergées. En retour, l’eau de mer infiltrée dans la croûte océanique s’insinue dans le manteau au niveau des zones dites de subduction où la croûte océanique s’enfonce et disparaît sous une plaque continentale. Au cours de la formation de notre planète, ces processus volcaniques et tectoniques ont été très violents : ils pourraient être à l’origine de l’accumulation de l’eau à la surface de la Terre (voir le chapitre Dans l’Univers).

L 'eau est un bien rare et précieux. Sa préservation est l'affaire de chacun d'entre nous. Il suffit de quelques changements minimes dans nos habitudes quotidiennes pour lutter à la fois contre le gaspillage et contre la pollution qui menacent l'eau.
Pour limiter le gaspillage, nous pouvons par exemple éviter de laisser couler inutilement les robinets. Nous pouvons aussi faire réparer rapidement les fuites d'eau : une chasse d'eau mal réglée peut représenter un gaspillage de 100 m3 par an.


Site web (1): http://fr.wikipedia.org/wiki/Origine_de_l'eau_sur_la_Terre
Article: L'origine de l'eau sur Terre

Site web (2): http://www.jardinsdumaroc.com/L-eau-source-de-vie,-attention-au-gaspillage!_a1576.html
Article: L'eau : source de vie, attention au gaspillage!

Site web (3): http://www.teteamodeler.com/ecologie/biologie/ecosysteme/eau2.asp
Article: L'eau une ressource naturelle indispensable à la vie

Site web (4): http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doseau/decouv/cycle/eauMantTerr.html
Article: L’eau du manteau terrestre

dimanche 14 mars 2010

Conservons l'eau !


INTRODUCTION:L'eu est un bien trés précieux mais malheureusement on le gaspille trop.C'est important repecter l'eau puisque c'est essenciel por vivre mais il y a des pays qui n'ont pas l'eau nécésaire pour vivre. La journée mondiale de l'eau sert a nous dire qu'il faut utiliser leau aver responsabilité.

. ONU-Eau consacrera la Journée mondiale de l’eau 2010 au thème de la qualité de l’eau, reflétant ainsi l’importance des deux thèmes, quantité et qualité, pour la gestion des ressources en eau. Les activités de la Journée mondiale de l’eau 2010 auront pour but de faire passer des messages sur la qualité de l’eau et son importance pour les écosystèmes et le bien-être de l’humanité.
L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution qui déclara le 22 mars de chaque année "Journée mondiale de l'eau", à compter de l'année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement. Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l'organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d'expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau et à la mise en œuvre des recommandations d'Action 21.(1)
En 2010, le thème retenu pour la célébration de la Journée mondiale de l’eau est : "communiquer sur l’importance de la qualité au même titre que la quantité d’eau disponible".
La communauté internationale veut attirer l’attention sur l’importance de la qualité de l’eau pour la santé de l’Homme et l’état de l’environnement dans lequel il vit.
Chaque année, 1 500 kilomètres cubes d’eaux usées sont produits à l’échelle mondiale. Les déchets et eaux usées pourraient être réutilisés efficacement pour l’énergie et l’irrigation, mais ce n’est pas le cas. Dans certains pays en développement, 80% des déchets ne sont pas traités, faute de législation et de ressources. La population et l’industrie croissantes créent de nouvelles sources de pollution et font exploser la demande en eau potable. (2)
La journée mondiale de l’eau 2010 vise à :
- Faire prendre conscience de la nécessité d’entretenir des écosystèmes sains et d’assurer le bien-être de l’humanité en relevant les défis croissants que pose la qualité de l’eau pour la gestion des ressources en eau.
- Accroître la visibilité du thème de la qualité de l’eau en encourageant les gouvernements, les organisations, les communautés et les individus dans le monde entier à s’engager sur ce thème, en participant à des activités telles que la prévention de la pollution, le nettoyage des cours d’eau et des lacs, et leur restauration.
Les activités de la Journée mondiale de l’eau 2010 auront pour but de faire passer des messages sur la qualité de l’eau et son importance pour les écosystèmes et le bien-être de l’humanité.
Le programme d’activités comprend : le site Internet de la Journée mondiale de l’eau 2010 ainsi qie du matériel de communication et de vulgarisation des publications phares et des initiatives d’avant- garde sur la qualité de l’eau ; une manifestation mondiale mondile consacrée à la qualité de l’eau, prévue aux environ de 22 mars 2010 ; un dialogue politique visant à développer un engagement mondial pour relever le défit de la qualité de l’eau pour les écosystèmes et le bien être de l’humanité dans le cadre d’autres conférences et manifestations importantes.
La campagne de la journée mondiale de l’eau 2010 est coordonnée par le programme des Narions Unies pour ‘Environnement pour le compte de l’ONU- Eau en collaboration avec la FAO, PNUD,CEE de l’ONU, UNICEF UNESCO, ONU. (3)
CONCLUSION:Il faut faire attention avec l'eau qu'on a car malheuresement il y a des ays qui ont besoint de cette eau. Cette journée mondiale de l'eau sert à nous sensibiliser d l'usage de l'eau.Conervons la.
1 http://www.unesco.org/water/water_celebrations/index_fr.shtml
Article :22 mars : journée mondiale de l’eau
2 http://www.fr.irc.nl/page/50658
Article : La journée de l’eau mondiale 2010 aura pour thème « communiquer sur l’importance de la qualité au même temps que la quantité d’eau disponible »
3 http://www.magazine-durabilis.net/journee-mondiale-de-l-eau-2010/
Article :Journée mondiale de l’eau 2010

lundi 1 mars 2010

Sans viande!


La viande est un des principaux apports en protéines de l’alimentation humaine…Ce nom est en fait donné à la chair des animaux à sang chaud (mammifères, oiseaux) que nous consommons ; pour les animaux à sang froid (poissons, reptiles, mollusques), le terme chair est conservé pour la substance dont on se nourrit.

(1)FARM qui milite pour une alimentation sans produits d'origine animale par respect des animaux, pour la préservation de la planète et pour l'amélioration de la santé. 2009 est la 25ème édition de cette campagne.
L'objectif du site Journée Sans Viande est double :
• Inviter, à l'occasion de la Journée Sans Viande (le 20 mars chaque année ou alentour du 20 mars) le public à s'informer sur le mode de vie sans viande et sur les raisons qui motivent ce choix éthique pour épargner les animaux, la planète et ses habitants. Pour ce faire, une sélection de sites d'information sur le végétarisme, le végétalisme et le véganisme est proposée.
• Inciter les végétariens, les végétaliens et les vegans à s'investir dans la campagne Journée Sans Viande pour aider la population à se débarrasser de la viande et lui faire découvrir, en toute simplicité et à travers des dégustations de produits et plats vegan par exemple, ce mode de vie éthique au plus grand nombre. Les vegans s'investissent aussi, entre autres, dans la Journée Mondiale Vegan, le véganisme étant un mode de vie parfaitement viable et qui exclut toute utilisation et cosommation de produit d'origine animale par respect des animaux.
Le saviez-vous ? Vendredi 20 mars 2009 aura lieu l'édition 2009 de la Journée Sans Viande (campagne Meatout) aux États-Unis... et dans le monde entier ! En France, de nombreux groupements se mobiliseront les week-ends du 14 mars et du 21 mars 2009 pour plus de visibilité auprès du grand public.
Avec l’arrivée du printemps, des milliers de personnes qui ne consomment aucune chair animale (dont le poisson) et pour beaucoup aucun produit d'origine animale organiseront à travers le monde à l'occasion de la Journée Sans Viande, le 20 mars ou alentour du 20 mars, des actions de sensibilisation à un mode de vie et d'alimentation sans viande.A l'occasion de cette journée de sensibilisation, à caractère totalement laïque, des conférences, des actions de rue, des repas en public, des cours de cuisine, des dégustations de délicieuse nourriture végétarienne/végétalienne, des distributions de tracts ainsi que des stands d’information/sensibilisation et de dégustation seront organisés partout dans le monde pour faire découvrir ce mode d'alimentation - et de vie - motivé par la compassion. La Journée Sans Viande est une campagne internationale destinée à aider la population à évoluer vers un régime non violent et équilibré à base de fruits, de légumes et de céréales. L’objectif est de communiquer au public les joies et vertus d’une alimentation végétale tout en faisant la promotion du large choix d'alternatives à la viande et aux produits laitiers disponibles.

(2) La Journée Sans Viande (JSV) est une campagne internationale ("Meatout Day" en anglais) qui a lieu chaque année le 20 mars.Pour les personnes qui ne peuvent ou ne souhaitent pas s’impliquer dans une action de rue pour l’édition 2009 de la JSV, il est tout de même possible de participer de manière électronique à la promotion d’une alimentation sans viande pendant la semaine de la JSV.Rappelons que, rien qu’en France, chaque jour, plus de 3 millions d’animaux (sans compter ni les poissons ni les crustacés) sont reproduits, parqués, engraissés ou gavés, puis transportés sans ménagement vers l’abattoir où ils sont sacrifiés avec brutalité avant de finir dans une assiette.Dans le monde, ce sont environ 50 milliards d'animaux (seuls ceux à sang chaud sont là encore comptabilisés) qui sont victimes de ce calvaire, chaque année.L’élevage et la consommation de viande ont en outre de nombreuses conséquences dramatiques pour la planète et la santé humaine comme expliqué sur le site de la JSV.Pour toutes raisons, mais surtout par respect des animaux, il est important que chacun d’entre nous prenne le temps d’agir à sa manière à l’aide du réseau Internet pour sensibiliser et informer ses proches et ses connaissances et les inviter à abandonner la viande le plus vite possible.

(3) Bon, certains modes d’alimentation donnent aussi des colorations particulières à la chair : ainsi les poulets nourris au maïs ont une chair jaune et les flamands et les poissons à la chair saumonée ont une belle couleur rose car ils sont friands de petits crustacés eux-mêmes pigmentés par le carotène des algues ou du plancton dont ils se nourrissent. Et si vous-même, vous mangez des carottes à profusion, vous finirez par prendre une belle coloration rose orangée ! Par contre je n’ai toujours pas compris pourquoi les lapins ne sont pas oranges… Finalement, peut-être ne mangent-ils pas tant de carottes que ça ? La viande (ou la chair), ce sont les muscles « squelettiques » de ces animaux ; ils sont constitués d’environ 75% d’eau, 20% de protéines, 3% de lipides, 1% de glucides et 1% de sels minéraux.

(4) La question à laquelle nous devons répondre maintenant est : comment résolvons-nous le chaos climatique et la faim, et comment garantissons-nous de meilleures conditions de vie aux paysans, quand le secteur agricole lui-même est responsable pour plus de la moitié des émissions ? Nous croyons que c’est le modèle industrialisé d’agriculture et l’agri business qui sont à la base du problème, car ces pourcentages que je viens de mentionner proviennent de la déforestation et de la conversion de forêts naturelles en plantations de monocultures, activités menées par des corporations de l’agri business. Non par les paysans. De si importantes émissions de méthane par l’agriculture sont aussi le fait de l’utilisation d’urée comme fertilisant pétrochimique par le biais de la révolution verte, très promue par la Banque mondiale. Parallèlement, la libéralisation commerciale de l’agriculture promue par les accords de libre-échange (ALE), et par l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), contribue aux émissions de gaz à effet de serre, en raison de l’industrie et du transport agroalimentaires partout dans le monde.Si nous voulons vraiment nous attaquer à la crise du changement climatique, la seule solution est de stopper l’agriculture industrielle. L’agribusiness n’a pas seulement contribué largement à la crise du climat, elle a aussi massacré les paysans du monde. Des millions de paysans et paysannes partout dans le monde, ont été expulsés de leurs terres. Des millions d’autres subissent des violences chaque année à causes de conflits fonciers en Afrique, en Asie, en Amérique latine. Ce sont des paysans et paysannes et des gens sans terre qui composent la majorité des plus d’1 milliard de personnes affamées dans le monde. Et à cause de la libéralisation du commerce, de nombreux petits producteurs se suicident en Asie du Sud. Par conséquent, en finir avec l’agriculture commerciale est notre seule issue.Les négociations actuelles autour du climat, qui se basent sur des mécanismes de commerce du carbone, apporteront-elles des solutions au changement climatique ? A cela nous répondons que les mécanismes de commerce de carbone ne serviront que les entreprises et pays pollueurs, et apporteront des désastres aux paysans et aux peuples indigènes dans les pays en développement. Le mécanisme REDD (Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts) a déjà expulsé de leurs terres de nombreuses communautés indigènes et de petits producteurs dans les pays en voie de développement. Et de plus en plus de terres arables sont transformée en plantations d’arbres pour attirer les crédits carbone.

La cote de la viande rouge est au plus bas. Rejetée par un million de végétariens, elle est boudée par un nombre croissant de Français. La crise de la vache folle n’est pas pour rien dans cette disgrâce. Mais elle n’explique pas tout. L’obsession sanitaire non plus. Hier associé aux plaisirs épicuriens, notre désir carnassier est en pleine régression. Au-delà d’un changement de mode alimentaire, c’est notre rapport à la bonne chère qui est en question.

Site web(1): http://www.journee-sans-viande.info/
Article: Prochaine édition : 20 mars 2010
Site web(2): http://journee-sans-viande.info/News/Actualites/Cyberaction_Journee_Sans_Viande_2009.html
Article: Campagne électronique Journée Sans Viande
Site web(3): http://blog.deluxe.fr/trucs-astuces-et-elements-de-choix/viande-sa-constitution.html
Article : Viande : au fait, la viande, qu’est-ce-que c’est ?
Site web(4): http://www.actionconsommation.org/publication/Pourquoi-nous-avons-quitte-nos.html
Article : Pourquoi nous avons quitté nos fermes pour venir à Copenhague

vendredi 26 février 2010

Un jour sans viande


Introduction:Durant les générations l'être humain s'est nourrit de la viande des animaux.La journée internationale sans viande sert à laisser un jour de repos aux animaux qu’on tue et qu’on mange tous les jours.
Avec l’arrivée du printemps, des milliers de personnes qui ne consomment aucune chair animale (dont le poisson) et pour beaucoup aucun produit d'origine animale organiseront à travers le monde à l'occasion de la Journée Sans Viande, le 20 mars ou alentour du 20 mars, des actions de sensibilisation à un mode de vie et d'alimentation sans viande.
A l'occasion de cette journée de sensibilisation, à caractère totalement laïque, des conférences, des actions de rue, des repas en public, des cours de cuisine, des dégustations de délicieuse nourriture végétarienne/végétalienne, des distributions de tracts ainsi que des stands d’information/sensibilisation et de dégustation seront organisés partout dans le monde pour faire découvrir ce mode d'alimentation - et de vie - motivé par la compassion.
La Journée Sans Viande est une campagne internationale destinée à aider la population à évoluer vers un régime non violent et équilibré à base de fruits, de légumes et de céréales. L’objectif est de communiquer au public les joies et vertus d’une alimentation végétale tout en faisant la promotion du large choix d'alternatives à la viande et aux produits laitiers disponibles.(1)
La journée internationale sans viande existe depuis 1985.
Elle a une origine américaine promulguée par l'association FARM qui milite pour une alimentation sans viande et se propose de lutter pour le respect des animaux, la préservation de la planète et l'amélioration de la santé humaine.
Ses actions sont relayées en France par International Campaigns, qui n'est autre que la plate-forme militante contre la vivisection et pour les droits des animaux.(2)
La Journée Mondiale pour l'Abolition de la Viande est destinée à promouvoir auprès du grand public la revendication politique d'abolition du meurtre des animaux pour la viande. Six millions d'êtres sensibles sont tués dans le monde chaque heure (!) pour être transformés en viande, sans même compter le massacre des poissons, qui sont bien sûr pris en compte dans la revendication d'abolition de la viande. La consommation de viande cause plus de souffrances et de morts qu'aucune autre activité humaine alors qu'elle n'est en rien nécessaire.
De nombreux collectifs se mobiliseront pour promouvoir la perspective de l'abolition de la viande. Il ne s'agira pas seulement de promouvoir le végétarisme auprès des individus mais d'exprimer à la société que la pratique d'assassiner les animaux pour les manger devrait être abolie. Nous espérons que cette initiative fortifiera le mouvement animaliste au fil des années. Il est important de s'adresser aux consommateurs, mais nous devons commencer à nous adresser aussi aux citoyens tout comme l'ont fait les militants pour l'abolition de l'esclavage, qui alors même qu'ils étaient nettement minoritaires non seulement demandaient à la population de boycotter le sucre produit par les esclaves, mais exprimaient aussi clairement l'idée que l'esclavage devrait être interdit. Il importe aujourd'hui d'interpeller clairement la société tout entière au sujet de la viande, afin qu'elle ne puisse plus éviter les conséquences d'un débat publique sur la légitimité de cette pratique (3)
Conclusion:La journée internationale sans viande nous montre qu'il y a d'autres formes de s'alimenter en dehors de la carnvore.
1 :Site web :www.journee-sans-viande.info/ Article : journée sans viande
2 :Site web :. http://www.journee-mondiale.com/205/20_mars-20_mars_sans_viande.htm Article : 20 mars :Journée internationale sans viande
3 :Site web : http://www.protection-des-animaux.org/ipb/index.php?showtopic=27742 Article :Journée internationale de l’abolition de la viande

lundi 15 février 2010

L'energie eoliene



L’homme a toujours utilisé le potentiel énergétique de la nature pour subvenir à ses besoins. Le bois, le charbon, l’eau, le vent. L’énergie éolienne était utilisée pour faire tourner un ensemble de pales appelé "moulin à vent", afin de pomper l’eau ou de faire tourner une meule. De nos jours, cette énergie est utilisée principalement pour produire de l’électricité.

(1)Cette énergie est produite par la force exercée par le vent sur les pales d'une hélice. Cette hélice est montée sur un arbre qui peut être relié soit à des systèmes mécaniques qui servent à moudre le grain ou à pomper de l'eau, soit à un générateur qui transforme l'énergie mécanique en énergie électrique
Les avantages
• C’est une énergie renouvelable
• C’est une énergie dont l’utilisation ne pollue pas l’atmosphère.
• Les coûts d’installation ne sont pas très élevés.
Les limitesL’énergie éolienne est variable dans le temps. Les petites installations d’éoliennes utilisées en autonome doivent stocker l'énergie sous forme d'accumulateurs qui sont chers si on veut avoir de l’électricité en permanence. En revanche, les installations reliées à un grand réseau électrique sont relayées, pendant les périodes sans vent, par les autres sources d'énergie.

(2)Cet évènement est organisé par l’association EWEA (European Wind Energy Association) qui regroupe l’ensemble des acteurs de l’industrie éolienne et dont le but est la promotion de l’utilisation de l’énergie éolienne, propre, renouvelable et illimitée, à travers l’Europe et le monde entier. L’objectif de cette journée est de sensibiliser et d’informer au niveau local les européens sur les avantages que représente l’éolien. Les participants pourront rencontrer les professionnels et découvrir le rôle de l’éolien dans la lutte contre le réchauffement climatique, le fonctionnement d’une turbine et mettre un terme aux erreurs communes sur l’énergie éolienne. Une carte interactive accessible sur le site de la journée permet de retrouver toutes les informations nécessaires, lieu, horaires d’ouvertures et contacts des organisateurs locaux. L’ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) est le partenaire français de cette édition et l’organisation a été confiée au Syndicat des Energies Renouvelables / France Energie Eolienne (SER-FEE). C’est, sans doute, une perspective très optimiste qui ne sera pas tenue pour des raisons que nous avons évoqué auparavant. Nées de la marée, de la lumière du soleil, du vent ou de la Terre elle même, les énergies renouvelables ne s’éteindront qu’avec la mort de notre planète. Mais comme toute industrie, leur exploitation nécessite la mise en œuvre de technologies de transformation dans des bâtiments techniques.

(3)Si nous tenons à conserver notre niveau de consommation électrique, il faut admettre dans notre paysage la présence de parcs éoliens, de centrales solaires, d’unités de production de biogaz. Comme nous avons admis il y a quelques décennies les centrales nucléaires, les milliers de pylônes électriques, les ouvrages d’art des autoroutes, les lignes de chemin de fer, les bâtiments des barrages hydrauliques, les bâtiments des centrales thermiques etc….Il est vital pour la planète de développer des énergies non émettrices de GES : le pétrole étant exploitable sous 50 ans maximum. Il faut penser l’éolien comme une moyen et non un but. L’Allemagne, le Danemark, la Grande Bretagne qui sont dépendants de leurs centrales à charbon sont les premiers à avoir donné de l’essor à l’éolien.La France, au contraire, est très en retard sur les implantations d’aérogénérateurs, en raison de l’énergie produite par les centrales nucléaires : notre pays dispose encore de 17 centrales thermiques, très polluantes et qui servent à produire le complément d’énergie nécessaire en cas de pic de forte consommation. Des aérogénérateurs pourraient largement remplacer ces centrales (cas de la centrale de Vazzio en Corse).

(4) Le recensement par l'EWEA des projets de fermes éoliennes pour les années à venir montre par ailleurs que la distance moyenne des côtes des nouvelles implantations va augmenter. Cet éloignement croissant va peser sur les prix d'installation des turbines, mais aussi sur le budget de maintenance. "La distance des côtes représente un défi opérationnel, mais l'on peut imaginer que des solutions seront trouvées, telles que des ports et des bases de vie flottants, et des dispositifs de sécurité améliorés autour des éoliennes", affirme Bruce Valpy, qui ajoute que "le niveau de fiabilité des systèmes devra également croître".Par ailleurs, les nouvelles fermes éoliennes devront être connectées aux réseaux terrestres de transport d'électricité. En décembre 2009, neuf gouvernements européens, dont la France, se sont engagés à définir, d'ici à la fin de 2010, les contours d'un dispositif d'interconnexion des fermes d'éoliennes et des réseaux nationaux, qui devrait faciliter l'utilisation de l'électricité produite en mer.

Le développement des énergies renouvelables en général et de l'énergie éolienne en particulier s'incrit dans le cadre de la préservation de l'environement de notre planète. Combiné a la maîtrise des consommations d'énergie, ce développement à pour objectif premier la réduction des gaz à effet de serre.

Site web (1) :http://www.maisonbrico.com/index.phtml?srub=87&iart=1783
Article: LA 2e JOURNÉE EUROPÉENNE DE L'ÉNERGIE ÉOLIENNE
Site web (2): http://www.alternativechannel.tv/blog/fr/comments/journee_europeenne_de_lenergie_eolienne_le_15_juin/
Article : Journée Européenne de l’Energie Eolienne le 15 juin
Site web (3) : http://www.thewindpower.net/article-45-l-energie-eolienne-en-france-et-en-europe.php
Article : L'énergie éolienne en France et en Europe
Site web (4) : http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/01/18/l-energie-eolienne-marine-est-en-croissance-en-europe_1293140_3244.htmlArticle : L'énergie éolienne marine est en croissance en Europe

dimanche 14 février 2010

Les nouvelles énergies


Introduction:Notre planète est malade don on pour la soigner in doit l'aider. Les éérgies éoliques sont une forme de prduire de l'éléctricité sans faire du mal à notre planète.
Cette énergie est produite par la force exercée par le vent sur les pales d'une hélice. Cette hélice est montée sur un arbre qui peut être relié soit à des systèmes mécaniques qui servent à moudre le grain ou à pomper de l'eau, soit à un générateur qui transforme l'énergie mécanique en énergie électrique.(1) Outre les nombreux avantages qu'elle partage avec les autres sources renouvelables d'énergie, l'exploitation de l'énergie du vent présente une série d'avantages propres. L'énergie éolienne est modulable et peut être parfaitement adaptée au capital disponible ainsi qu'aux besoins en énergie. Il n'y a donc pas d'investissements superflus. Cette modularité permet aussi de maintenir en fonctionnement la plus grande partie de l'installation lorsqu'une pièce est défectueuse. Les frais de fonctionnement sont assez limités étant donné le haut niveau de fiabilité et la relative simplicité des technologies mises en œuvre. Le prix de revient d'une éolienne va probablement diminuer dans les années à venir suite aux économies d'échelle qui pourront être réalisées sur leur fabrication. Techniquement au point, les éoliennes sont rentables dans les régions bien ventées. La période de haute productivité, située souvent en hiver où les vents sont plus forts, correspond à la période de l'année où la demande d'énergie est la plus importante Le problème de l'énergie éolienne, souligné par la plupart des spécialistes, est l'inconstance de la puissance fournie. Quand cette puissance est inférieure à la capacité de la charge du réseau, il faut une source de puissance complémentaire (par exemple, un groupe électrogène Diesel). Quand cette puissance dépasse la capacité de la charge du réseau, il faut l'intervention d'un système de régulation de façon à maintenir constantes la fréquence et la tension. La complexité à résoudre ces contraintes techniques a amené la plupart des entreprises à négliger, jusqu'à présent, l'énergie éolienne pour les petits réseaux. (2)
1)L'efficacité énergétique et les énergies renouvelables sont les deux principaux axes de la Stratégie Énergétique du Pays Basque vers 2010.
Le premier grand objectif est de faire des économies sur la consommation annuelle par rapport à celles prévues selon les tendances actuelles (+3,4%), ce qui nous amènera, en 2010, à réduire de 15% la consommation totale théorique si la tendence des ratios de croissance se maintient.
L'autre grand objectif est d'arriver à ce que les énergies renouvelables représentent 12% de la consommation d'énergie primaire au Pays Basque. De même, la participation de la cogénération plus celle des énergies renouvelables dans l'approvisionnement électrique sera de 30%.
Le système énergétique sera consolidé par le biais du développement d'infrastructures électriques et de gaz naturel, principalement, afin d'assurer la qualité, la continuité et la compétitivité de l'approvisionnement.
Il sera réalisé un effort de coordination et de définition des priorités dans les lignes de développement technologique en ce qui concerne les ressources en RDI dans le domaine énergétique.
La Stratégie Énergétique diminuera notablement les émissions de gaz à effet de serre, et elle sera un élément clef pour la réalisation des objectifs de Kyoto.
Le Gouvernement Basque promouvra des investissements pour 4.900 millions d'euros dans le secteur énergétique, desquels 423 millions d'euros correspondront à l'investissement public, qui permettront de réduire la depéndance du pétrole en faveur du gaz naturel et des énergies renouvelables.(3)
Conclusion:Grâce à cette énérgie on peut donner un coup de main à notre planète et la proteger.
1.Site web : http://www.fnh.org/naturoscope/Energie/Eolienne/Eole1.htm article : énérgie éolienne
2 :site web http://www.inti.be/ecotopie/eolcrit.html Article:Avantages, limites et inconvénients de l’énérgie éolienne
3 :site web : http://developpdurable.blogspot.com/2010/02/les-energies-eoliennes-et-energie.html Article :Les énérgies éoliennes et énérgies éoliennes au Pays basque

lundi 1 février 2010

Conservons les zones humides




Introduction:Les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus riches du monde, elles fournissent l’eau et les aliments à d’innombrables espèces de plantes et d’animaux. Ce sont des milieux de vie remarquables pour leur diversité biologique.

(1)Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l'occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.
Ce traité intergouvernemental sert de cadre à l'action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l'utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

(2)Le thème proposé pour cette année concerne les bassins hydrographiques et leur gestion : « D’amont en aval »Les zones humides nous relient les uns aux autres. Ce slogan proposé : « D’amont en aval » reflète bien le lien nous unissant tous au bassin hydrographique: quels effets les activités des personnes vivant en amont ont-elles sur notre environnement et comment les nôtres influencent-elles la vie des personnes vivant en aval? En effet, nous vivons tous au sein d’un bassin hydrographique (ou bassin de drainage, bassin versant, etc.). La plupart des lecteurs sont conscients des défis liés à leur gestion. De plus, le défi, consistant à s’assurer que les gestionnaires de bassins englobent dans leurs projets non seulement l’eau mais aussi les zones humides, n’est pas des moindres.La JMZ de cette année, qu’elle soit célébrée le 2 février ou à une autre date proche, sera une opportunité pour chacun de nous de découvrir les zones humides qui l’entourent et leur relation avec les zones environnantes - quels sont les bienfaits des zones humides pour les zones environnantes et, bien sûr, quels sont les impacts des activités se déroulant dans leur bassin versant sur les zones humides.
(3)La Journée mondiale des zones humides est l’occasion d’informer et de sensibiliser le public à la valeur et à l’importance de ces écosystèmes si riches et à leurs enjeux de préservation et de gestion. Cette année, elle est placée sous le thème des conséquences du changement climatique sur la biodiversité.A l’occasion de cette journée et pour la quatrième année consécutive, près de 110 animations, réparties entre le 28 janvier et le 10 février 2010, sont organisées en Aquitaine.Sorties nature, expositions, conférences, journées portes ouvertes, chantiers et ateliers pédagogiques seront proposés grâce à la mobilisation des associations, collectivités territoriales et services associés.
(4)C'est donc pour nous l'occasion d'approfondir la question de la biodiversité des zones humides et de son évolution, et d'étudier la contribution de la biodiversité à la santé des zones humides (et de l'homme, bien entendu). La plupart des amis de Ramsar sont parfaitement conscients de l'importance de la diversité des espèces dans la désignation des sites Ramsar - huit des neuf critères d'identification des zones humides d'importance internationale concernent spécifiquement la diversité des espèces présentes et leur abondance relative. Autre élément tout aussi important pour Ramsar : la façon dont nous gérons les zones humides afin de maintenir des écosystèmes de zones humides sains et fonctionnels, y compris les espèces qui y vivent et les composantes non vivantes des zones humides dont dépendent les espèces - eau, nutriments, etc. Que connaissons-nous de l'évolution récente et de l'avenir probable de la biodiversité des zones humides ? Pas autant que nous le souhaiterions, mais nous espérons pouvoir fournir une indication de ce qui, à notre avis, constitue la tendance actuelle. Et ce ne sera probablement pas une bonne nouvelle !

En conclusion:Les zones humides, espaces de transition entre la terre et l’eau, constituent un patrimoine naturel exceptionnel, en raison de leur richesse biologique et des fonctions naturelles qu’elles remplissent.

Site web(1) : http://www.journee-mondiale.com/90/2_fevrier-zones_humides.htm
Article : 2 février : Journée Mondiale des Zones Humides
Site web (2) http://www.mediaterre.org/jeunes/actu,20090127194832.html
Article:Journée Mondiale des Zones humides (JMZ) 2009
Site web (3) : http://www.lejournaldesplages.com/post/2010/01/13/Journ%C3%A9e-mondiale-des-zones-humides-en-Aquitaine Article : Journée mondiale des zones humides en Aquitaine
Site web (4) : http://www.mediaterre.org/international/actu,20090514142818.html
Article : Journée mondiale des zones humides 2010 - Les zones humides, la biodiversité et les changements climatiques

dimanche 31 janvier 2010

Sauvons les zones humides!


Introduction : Á cause du changement climatique on perd un nombre considérable de zones humides. Cette journée internationale des zones humides sert à nous sensibiliser à tous et à toutes sur cette perte qui nous concerne à tous.

Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne.
Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l'occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.
Entre 1997 et 2007, le site Internet de la Convention a présenté les rapports envoyés par plus de 90 pays sur les activités menées pour la JMZH, de forme et d'envergure aussi diverses que des conférences et séminaires, des randonnées dans la nature, des concours de dessin pour enfants, des courses de sampans, des journées de nettoyage communautaire, des interviews à la télévision et à la radio, des lettres aux journaux, l'inauguration de nouvelles politiques sur les zones humides, de nouveaux sites Ramsar et de nouveaux programmes nationaux.(1)
Disparition de 50% des zones humides en 50 ans :
Définies comme des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d'eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires [...], les zones humides couvrent dans le monde entre 748 et 778 millions d'hectares. Au cours des cinquante dernières années, le drainage, la pollution, l'irrigation, les guerres et le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones humides.
Pour 2005 : "La diversité des zones humides est un trésor"
Notre thème de la Journée mondiale des zones humides 2005 porte sur la diversité culturelle et biologique des zones humides avec pour slogan "La diversité des zones humides est un trésor".
La diversité culturelle et biologique des zones humides constitue une richesse naturelle dont dépend notre bien-être physique et psychologique. Le patrimoine culturel de nos zones humides est le résultat d'une symbiose qui remonte à la nuit des temps entre les populations et les zones humides, une association qui a enrichi les générations passées et qui, avec votre aide, en fera autant pour les générations futures. Cette association s'est développée en raison de l'utilité des zones humides - en bref, la diversité de la vie végétale et animale des zones humides a assuré la subsistance des populations et leur a procuré de nombreux autres avantages (2)
Cette année elles ont pour thème « Les zones humides, la biodiversité et les changements climatiques ». A cette occasion, du 30 janvier au 7 février, le CPIE, le Domaine de la Palissade, les Marais du Vigueirat, le Musée départemental de l’Arles antique, le Parc naturel régional des Alpilles, le Parc naturel régional de Camargue, la Réserve nationale de Camargue, le Syndicat Mixte pour la Protection de la Camargue gardoise et la Tour du Valat se mobilisent pour vous proposer des animations : sorties nature, conférences, expositions, ateliers récréatifs…, qui permettront à chacun d’en savoir plus sur ces milieux aujourd’hui menacés.(3)

Conclusion : Grâce à cette journée internationale des zones humides on peut tous prendre conscience de le mal que nous étions en train de faire à notre planète.

(1)Site web : www.actu-environnement.com/.../journee_mondiale_zones_humides_4944.php4
Article :Journée mondiale des zones humides

(2)Site web :
www.journee-mondiale.com/.../2_fevrier-zones_humides.htm
Article : 2 février : journée mondiale des zones humides

(3) Site web : http://www.tourduvalat.org/actualites/evenements/journee_mondiale_des_zones_humides
Article : Journée mondiale des zones humides