mardi 15 décembre 2009

Journée internationale de la solidarité humaine



(1)C'est la conviction acquise depuis 70 ans que nous oeuvrons aux côtés des enfants les plus pauvres de la planète.
En parrainant un enfant, vous permettez de mettre en place des projets qui améliorent ses conditions de vie. Et pour cela, nous savons qu’il faut agir sur 5 axes essentiels à son bien-être : santé et hygiène, habitat, éducation, amélioration des ressources et protection de ses droits.Parrainer un enfant, c'est aussi faire de lui un acteur à part entière de son développement. Et nous constatons chaque jour qu’associer les enfants à nos actions, c’est former les leaders de demain et garantir ainsi un avenir durable à toute leur communauté.

(2) La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.
Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.
Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

(3) Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

(4) Les exemples de solidarité humaine abondent mais la question est maintenant de savoir comment traduire la solidarité en actes, a souligné, pour sa part, la Présidente de la Commission économique et financière (Deuxième Commission), Tiina Intelmann de l’Estonie. Elle a souligné que la notion de solidarité est au centre des nombreuses questions abordées par la Deuxième Commission, telles que le commerce, la dette, le financement du développement, la mondialisation et l’interdépendance ou encore le renforcement de l’assistance humanitaire et les secours d’urgence.Les Nations Unies sont l’entité la plus à même de faire de cette vision de solidarité une réalité et de répondre ainsi aux espoirs de l’humanité, a estimé le représentant du Bangladesh, en appuyant fermement l’idée que cette valeur soit le fondement des relations internationales contemporaines. La solidarité est aujourd’hui un devoir, en particulier pour répondre aux pressions migratoires vers les pays riches, a tranché le représentant du Burkina Faso, qui a aussi indiqué que les regroupements régionaux sont les maillons de la solidarité africaine.Au niveau international, la solidarité s’exprime par le biais de programmes tels qu’UNITAID où la participation commune des pays développés et en développement est le symbole d’un partenariat novateur et d’un rapprochement plus fort, a illustré le représentant du Brésil, avant que son homologue de la Belgique n’appelle à une réflexion plus approfondie sur la solidarité entre le Nord et le Sud. Ce concept doit être élargi dans l’espace mais aussi dans le temps, pour les générations futures. C’est l’essence même de la notion de développement durable.Les représentants du Bangladesh, de la Belgique, du Brésil et du Burkina Faso ont parlé au nom de leurs groupes régionaux. La cérémonie a été tenue sous les auspices de la Présidente de la Deuxième Commission.

Site web (1):http://www.planfrance.org/fileadmin/templates/images/header_plan.jpg
Article:Plan,les enfanfants changeront le monde

Site web (2): http://www.journee-mondiale.com/93/20_decembre-internationale_solidarite_humaine.htm
Article:20 décembre : Journée Internationale de La Solidarité Humaine

Site web (3): 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine
Article: http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153

Site web (4): http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/DEV2600.doc.htm
Article: Communiqué de presse

dimanche 13 décembre 2009

Journée internationale de la solidarité humaine


Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité. La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un Fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce Fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement « Solidarnosc » a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite. « Solidarnosc » a transformé la Pologne. La solidarité peut transformer le monde.(1) Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que la planète produit, chaque année, suffisamment de quoi nourrir 12 milliards de personnes, soit le double de la population mondiale. En ouverture de la commémoration de la Journée internationale de la solidarité humaine fixée au 20 décembre, le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), M. Ali Hachani de la Tunisie, a engagé la communauté internationale à contribuer au Fonds mondial de solidarité. Il a ajouté que la pauvreté est l’une des violations les plus graves des droits de l’homme. Le rôle de l’ECOSOC est, en particulier, vital pour favoriser la coopération internationale sur la base d’une solidarité entre le Nord et le Sud et entre les partenaires du développement, a-t-il précisé. Devant un écart grandissant entre riches et pauvres qui fait que les 2% les plus riches de la population mondiale possèdent plus de la moitié des richesses, M. José Antonio Ocampo, Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, a attiré l’attention sur l’engagement des pays riches à verser 0,7% de leur PNB à l’aide publique au développement (APD). À ses yeux, respecter cet engagement serait un geste de solidarité humaine tangible. (2) ''La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur. ''
Plus loin il poursuit
'' Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un Fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce Fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.''(3)
1 : Site web : http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153 Article : 20 décembre : Journée internationale de la solidarité humaine
2 : SITE WEB : http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/ECOSOC6244.doc.htm Article : Commémoration de la journée internationale de la solidarité humaine
3 : Site web : http://atelier.rfi.fr/events/journee-internationale-de-la Article :journée internationale de la solidarité humaine